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Foire aux questions

Malgré une formation et un management enseignant des pratiques de travail qu’ONG Conseil Suisse estime vertueuses, nous ne pouvons pas placer un «surveillant» derrière chaque Street Heroes et nous ne sommes jamais à l’abri que l’un d’entre eux ne soit pas digne de la confiance que nous lui faisons en transgressant nos fondamentaux éthiques.

Comment sont précisément rémunérés les Street Heroes chez ONG Conseil Suisse ?
J'ai le sentiment que le dialogue auquel j'ai participé dans la rue ne s'est pas déroulé comme décrit au dos de mon bulletin de soutien. Que puis-je faire ?
Vous affirmez vous appuyer sur un discours authentique et basé sur des « connaissances sûres et actualisées ». Comment vous assurez-vous que c'est le cas pour tous les Street Heroes ?
J'ai croisé à quelques semaines d'intervalle le même recruteur qui défendait des associations différentes. S'est-il contenté de changer de blouson ?
Les Street Heroes sont-ils eux-mêmes donateurs ?
Pourquoi ce type de collecte dans la rue n'est pas réalisé par des bénévoles ?
Pourquoi n'allez-vous jamais dans les « beaux quartiers » recruter des personnes qui, elles, ont les moyens de donner ?
Si ONG Conseil Suisse vend ses services aux associations, les dons servent aussi à payer ONG Conseil Suisse. Pourquoi ne pas donner directement auprès des associations ?
Comment sont précisément rémunérés les Street Heroes chez ONG Conseil Suisse ?

La rémunération des Street Heroes est exclusivement fixe et s’élève à 27.70 CHF (brut) par heure, 33.00 CHF (brut) par heure pour un Street Booster et 36.00 (brut) par heure pour un Street Leader. A cette rémunération s’ajoute un 13eme salaire au prorata temporis soit 8.33% du salaire brut, et une indemnité de congés payés équivalente à 8.33% du salaire brut.

Le caractère fixe de la rémunération est pour nous primordial car il représente un « garde-fou » indispensable aux risques de manipulation ou de « forcing » du public auxquels nous sommes fermement opposés. Cette rémunération n’est donc jamais liée au niveau de collecte réalisée. La formation initiale est rémunérée de la même façon.

J'ai le sentiment que le dialogue auquel j'ai participé dans la rue ne s'est pas déroulé comme décrit au dos de mon bulletin de soutien. Que puis-je faire ?

Si vous jugez que votre soutien à l’association est né d’un dialogue avec un recruteur ayant notamment eu recours au mensonge, la culpabilisation ou la manipulation, nous vous invitons à appeler le numéro suivant 022 342 40 55, du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 ou de 13h30 à 18h. Vous aurez un échange, cette fois en toute transparence, autour de l’objet social de l’association ou des modalités du don régulier. Vous aurez alors la possibilité de décider de poursuivre votre don ou de l’annuler, le cas échéant.

Vous affirmez vous appuyer sur un discours authentique et basé sur des « connaissances sûres et actualisées ». Comment vous assurez-vous que c'est le cas pour tous les Street Heroes ?

Les Street Heroes participent en début de mission à une formation largement consacrée à l’association, son histoire, ses valeurs, ses moyens d’action, son budget.

Cette formation est construite en étroite collaboration avec les salariés de l’association afin de transmettre des connaissances sûres au recruteur de donateurs. Par ailleurs, l’obligation de s’informer régulièrement autour de l’actualité du ou des thèmes qu’elle aborde fait partie intégrante du quotidien du métier de recruteur de donateurs. à titre d’exemple, nous rémunérons tour à tour chaque Street Hero, pour la préparation d’un exposé permettant à l’ensemble de l’équipe d’approfondir un thème en particulier lors du briefing journalier.

J'ai croisé à quelques semaines d'intervalle le même recruteur qui défendait des associations différentes. S'est-il contenté de changer de blouson ?

Une mission de collecte de fonds de rue est réalisée au bénéfice d’une seule association. L’équipe est exclusivement recrutée et formée pour cette mission de cinq à six semaines.
Certains Street Heroes exercent ce métier à l’année et sont donc conduits à participer à plusieurs missions. Dans le cas, un Street Hero serait amené à représenter une nouvelle association, sa nouvelle mission pour le compte de cette association est obligatoirement précédée d’une formation initiale puis d’une formation continue tout au long de sa mission.

Les Street Heroes sont-ils eux-mêmes donateurs ?

Pour les Street Heroes comme pour le grand public, le choix de donner ou de ne pas donner est libre, propre à chacun et ne donne lieu à aucun jugement de valeur. Toutefois, nous observons qu’un grand nombre de Street Heroes soutient traditionnellement au moins l’association qu’il représente dans la rue lorsqu’il n’est pas multi donateurs (jusqu’à  5, 10, voire 15 associations pour certains d’entre-nous !).

Pourquoi ce type de collecte dans la rue n'est pas réalisé par des bénévoles ?

Il est extrêmement difficile de mobiliser en grand nombre des bénévoles qui travailleraient dans la rue, par tous les temps, des journées entières, minimum 3 jours par semaine, à solliciter la générosité du public. Collecter des dons dans la rue de manière massive, éthique et efficace, est un métier exigeant qui mobilise de nombreuses compétences et une grande capacité à essuyer les refus, l’indifférence, parfois même les insultes.

La collecte par des bénévoles est possible de façon massive pour des évènements ponctuels (journée de quête nationale de la Croix-Rouge par exemple). Pour s’inscrire dans la durée, l’expérience a prouvé qu’il était impératif de lui préférer une collecte professionnalisée.

Pourquoi n'allez-vous jamais dans les « beaux quartiers » recruter des personnes qui, elles, ont les moyens de donner ?

Nous sommes en réalité présents partout où nous avons la possibilité de rencontrer un maximum de personnes, de tous âges, sexes, milieux sociaux, que le quartier soit réputé « riche » ou « populaire ».
Nous constatons d’ailleurs que toutes les catégories sociales sont généreuses, à la hauteur de leurs moyens. Par ailleurs les recruteurs, quel que soit le lieu où ils travaillent, ont la consigne claire de parler au-delà  de leurs éventuels préjugés personnels, à tous les passants qu’ils croisent !

Si ONG Conseil Suisse vend ses services aux associations, les dons servent aussi à payer ONG Conseil Suisse. Pourquoi ne pas donner directement auprès des associations ?

C’est évidemment toujours possible ! Mais les associations ne peuvent se contenter de compter sur les donateurs spontanés, ultra-minoritaires, si elles souhaitent voir leurs moyens d’action augmenter de façon significative et durable. Elles doivent solliciter le grand public : par courrier, lors d’évènements médiatisés, via des campagnes d’affichage, sur Internet. Cette sollicitation efficace et organisée n’est jamais gratuite, elle est par contre guidée par des impératifs de rentabilité : l’argent d’une association doit servir ses actions, l’argent qu’elle investit dans la collecte de fonds doit donc lui procurer des ressources pour les réaliser. Lorsqu’une association s’engage dans un programme de collecte de fonds de rue avec ONG Conseil Suisse, elle récolte en moyenne après 8 ans, 4 fois la somme qu’elle a investie au départ.

En effet, les donateurs par LSV ou DD le sont en général pendant plusieurs années. Le don sollicité de façon professionnelle (prélèvement automatique ou autre) ne s’oppose en rien au don spontané, mais vient s’y ajouter, et de façon autrement plus massive, dans le but de permettre aux associations de développer durablement leurs moyens d’action au service des causes qu’elles défendent.

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N’hésitez pas à nous envoyer toutes vos questions à l’adresse : contact@ongconseil.ch
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